André Kertesz

Visite de l’exposition du photographe au musée du Jeu de Paume.

Et je ne peux m’empêcher de faire ce parallèle: le même carrefour…

A.K.

Je le photographiais souvent la nuit lorsque j’habitais à deux pas sans savoir qu’André Kertesz s’était attardé en haut à cet angle des remparts du Château de Blois dans une période où je n’existais pas encore.

J’avais commencé à photographier la ville, ma ville, après un court séjour à New York, là-bas j’avais voulu le voir, il était malade, nous n’avons fait que parler au téléphone deux ou trois fois et les mots sans importance se sont envolés depuis. Ils avaient été bénéfiques dans mon apprentissage.

F.M.